Article mis à jour le 05/04/2015
Dans cet article sont listés pas moins de 74 logiciels de paie référencés en France, avec les spécialités qui les caractérisent (selon l’activité déduite de la Convention Collective Nationale dont elle dépend, son effectif géré mais aussi les types de contrat, les qualifications et les emplois de ses salariés).
Nous concèderons qu’en effet : « Ce n’est pas le logiciel de paie qui fait la paie mais plutôt le gestionnaire de paie. »
Toutefois, accepter ce seul postulat serait considérer que le respect d’une législation complexe et changeante repose exclusivement sur le savoir-faire de celui qui utilise un moyen pour atteindre une fin : la justesse d’une production effectuée dans les délais et la garantie de la réduction des risques sociaux pour le dirigeant.
Quid en cas de veille légale incomplète et quid en cas de non connaissance par le gestionnaire du logiciel de paie présent dans l’entreprise ?
Enfin, il y a fort à parier que la baseline associée à chacun des 74 logiciels recensés a été rédigée par son propriétaire et ne reflète pas systématiquement le point de vue de l’entreprise cliente et de ses utilisateurs.
Les qualificatifs « simple, rapide, souple, complet, performant » peuvent hélàs ne pas rimer avec « adapté à mon contexte, exhaustif et sûr ».
Pour s’en assurer véritablement, de façon préalable à l’achat, rien ne vaut :
– une démonstration (humaine et technique) de la gestion des cas les plus complexes (une mise en situation de la future solution),
– une démonstration (humaine et technique) de la gestion des cas les plus complexes (une mise en situation de la future solution),
– un prise de référence auprès d’un client de taille et activité similaire à la votre,
– un contrat dont les clauses seront épluchées avec soin.
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